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Les holdings du Grand Nord

La nouvelle année sera sans aucun doute un défi pour l’économie et les marchés financiers. Dans un tel environnement, les holdings ou sociétés de portefeuille peuvent constituer un atout dans un portefeuille d’actions. En effet, les holdings combinent souvent des politiques financières prudentes avec une palette diversifiée de participations. Les familles fortunées vous permettent de profiter de leur dynamisme et de leur expertise par le biais de holdings cotés en bourse. Comme vous connaissez déjà les holdings belges, nous vous emmenons dans le Grand Nord.

Le krach de 2022 ouvre la voie à une belle année 2023

Les banques centrales ont semé les germes d’un krach obligataire général. Les rendements intéressants sont enfin de retour. Les obligations à court terme en dollars indexées sur l’inflation, les obligations des marchés émergents et les obligations à court terme en dollars ont accaparé le devant de la scène en 2022/ En 2023, nous voyons encore un certain nombre d’opportunités dans les obligations d’entreprise de qualité

Grand retournement de situation en Chine

Xi Jinping consolide son pouvoir. La politique stricte Zéro Covid fait marche arrière. La reprise sera lente. La Chine aspire à nouveau à des taux de croissance élevés en 2023

Changement de cap

Le 8 novembre, les « élections de mi-mandat » ont lieu aux États-Unis, avec 435 sièges à la Chambre des représentants et 35 au Sénat en jeu. Actuellement, les Démocrates du Congrès américain jouissent d'une majorité (étroite) à la fois à la Chambre des représentants et au Sénat. Cependant, il y a 80 % de chances que les Républicains obtiennent la majorité à la Chambre à partir du 3 janvier 2023, tandis que pour le Sénat, l’issue est incertaine.

Netflix se débat, tandis que ASML prospère

Cette semaine, le coup d'envoi a enfin été donné pour la saison des résultats dans le secteur de la technologie, et quelques géants de l’industrie ont pu révéler leurs chiffres pour le premier trimestre civil de 2022. Et l’écart entre la qualité des bénéfices et la réaction des investisseurs à cet égard ne pouvait être plus important.

Quelle est la profondeur de la crise ukrainienne ?

L’économie russe n’est pas gigantesque en termes de taille, mais en tant que fournisseur de matières premières, elle perturbe profondément l’économie mondiale. L’impact économique du conflit se fait sentir dans le monde entier. L’Europe est plus vulnérable que les États-Unis. Une analyse de scénario nous permet de nous préparer au mieux, malgré toutes les incertitudes. La crise nous donne des leçons en termes d’ESG (Environnement,Social et Gouvernance), de modèle de production mondial, de politique énergétique, d’administration publique et d’indépendance européenne.

La crise ukrainienne donne un coup de pouce supplémentaire à l’inflation

Nous avions prédit que les tensions géopolitiques reprendraient le dessus de l’actualité dès que la pandémie disparaitrait un peu à l’arrière-plan. En revanche, le fait que les protagonistes soient la Russie et l’Ukraine, et non pas la Chine et les États-Unis, a bel et bien été une surprise. Le président russe Poutine a envahi l’Ukraine le 24 février, après un prélude de renforcement des troupes et de démentis du Kremlin, marquant ainsi le début d’une catastrophe humanitaire à la frontière de l’Europe et du territoire de l’OTAN. En outre, les vulnérabilités de l’économie européenne et mondiale sont également ressenties avec plus d’acuité que jamais. Dans cette rubrique, nous répondons à quelques-unes des questions fréquemment posées sur l’inflation, la croissance et la politique de taux d’intérêt des banques centrales.

Le coût de la guerre pour les entreprises

Nous connaissons les grands perdants de cette guerre : ce sont les Ukrainiens qui doivent abandonner leurs maisons, leurs proches, l’avenir qu’ils s’étaient construit à cause de l’agression inutile d’un dictateur russe déséquilibré. Comparé à leur souffrance, notre addition économique a tout l’air d’un exercice cynique. Cependant, ce conflit va déclencher un effet domino, avec des dommages considérables pour l’ensemble de l’économie mondiale. Comme si les entreprises n’avaient pas assez de problèmes à l’issue de la crise de Covid-19 – flambée des prix des matières premières, pénurie de puces et de divers autres composants, montée en flèche des tarifs de fret et des problèmes logistiques, augmentation des salaires – la guerre en Ukraine est venue récemment s’ajouter à la liste. L’impact de cette crise n’est toutefois pas si unilatéral. La répartition entre les secteurs et les régions est donc une nécessité absolue.

Calme relatif sur les marchés des obligations et des devises

Dans ce blogpost, nous nous attachons à la monnaie russe et aux obligations d’État de ce pays, aux retombées possibles sur d’autres pays émergents et à l’impact sur la politique de taux d’intérêt des banques centrales.

Exclusion de la Russie

Le conflit entre la Russie et l’Ukraine a évidemment aussi un impact sur les pays émergents. L’impact sur les devises et les obligations a été plutôt positif, comme vous pouvez le lire dans le chapitre « Taux d’intérêt et devises ». Outre cette crise, la région en croissance a également d’autres soucis en tête, comme des élections ou, qui sait, un pic imminent des taux d’intérêt. Et en Chine, la résurgence du virus et les mesures de soutien annoncées par le gouvernement ont également joué un rôle.