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Économie

De l’avertissement à l’action : le nouveau rapport sur le climat et la voie vers un avenir durable

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies a publié récemment son sixième rapport de synthèse. Les conclusions sont alarmantes. Mais la situation est-elle vraiment catastrophique ? Ou pouvons-nous encore inverser la tendance ? Nous pensons qu’il est toujours possible d’y remédier.

L’année 2023 va-t-elle être une année de catharsis ?

L’inflation a été notre bête noire en 2022 et elle est encore là. Les banques centrales ne cèdent pas, soutenues par un marché du travail tendu. Entre-temps, l’économie s’écroule sous les taux d’intérêt élevés. Des taux d’intérêt élevés qui font éclater les bulles.

Le krach de 2022 ouvre la voie à une belle année 2023

Les banques centrales ont semé les germes d’un krach obligataire général. Les rendements intéressants sont enfin de retour. Les obligations à court terme en dollars indexées sur l’inflation, les obligations des marchés émergents et les obligations à court terme en dollars ont accaparé le devant de la scène en 2022/ En 2023, nous voyons encore un certain nombre d’opportunités dans les obligations d’entreprise de qualité

Grand retournement de situation en Chine

Xi Jinping consolide son pouvoir. La politique stricte Zéro Covid fait marche arrière. La reprise sera lente. La Chine aspire à nouveau à des taux de croissance élevés en 2023

Changement de cap

Le 8 novembre, les « élections de mi-mandat » ont lieu aux États-Unis, avec 435 sièges à la Chambre des représentants et 35 au Sénat en jeu. Actuellement, les Démocrates du Congrès américain jouissent d'une majorité (étroite) à la fois à la Chambre des représentants et au Sénat. Cependant, il y a 80 % de chances que les Républicains obtiennent la majorité à la Chambre à partir du 3 janvier 2023, tandis que pour le Sénat, l’issue est incertaine.

Le coût de la guerre pour les entreprises

Nous connaissons les grands perdants de cette guerre : ce sont les Ukrainiens qui doivent abandonner leurs maisons, leurs proches, l’avenir qu’ils s’étaient construit à cause de l’agression inutile d’un dictateur russe déséquilibré. Comparé à leur souffrance, notre addition économique a tout l’air d’un exercice cynique. Cependant, ce conflit va déclencher un effet domino, avec des dommages considérables pour l’ensemble de l’économie mondiale. Comme si les entreprises n’avaient pas assez de problèmes à l’issue de la crise de Covid-19 – flambée des prix des matières premières, pénurie de puces et de divers autres composants, montée en flèche des tarifs de fret et des problèmes logistiques, augmentation des salaires – la guerre en Ukraine est venue récemment s’ajouter à la liste. L’impact de cette crise n’est toutefois pas si unilatéral. La répartition entre les secteurs et les régions est donc une nécessité absolue.

Quelle est la profondeur de la crise ukrainienne ?

L’économie russe n’est pas gigantesque en termes de taille, mais en tant que fournisseur de matières premières, elle perturbe profondément l’économie mondiale. L’impact économique du conflit se fait sentir dans le monde entier. L’Europe est plus vulnérable que les États-Unis. Une analyse de scénario nous permet de nous préparer au mieux, malgré toutes les incertitudes. La crise nous donne des leçons en termes d’ESG (Environnement,Social et Gouvernance), de modèle de production mondial, de politique énergétique, d’administration publique et d’indépendance européenne.

La crise ukrainienne donne un coup de pouce supplémentaire à l’inflation

Nous avions prédit que les tensions géopolitiques reprendraient le dessus de l’actualité dès que la pandémie disparaitrait un peu à l’arrière-plan. En revanche, le fait que les protagonistes soient la Russie et l’Ukraine, et non pas la Chine et les États-Unis, a bel et bien été une surprise. Le président russe Poutine a envahi l’Ukraine le 24 février, après un prélude de renforcement des troupes et de démentis du Kremlin, marquant ainsi le début d’une catastrophe humanitaire à la frontière de l’Europe et du territoire de l’OTAN. En outre, les vulnérabilités de l’économie européenne et mondiale sont également ressenties avec plus d’acuité que jamais. Dans cette rubrique, nous répondons à quelques-unes des questions fréquemment posées sur l’inflation, la croissance et la politique de taux d’intérêt des banques centrales.

Qui fait confiance au dollar américain ?

L'année a été mouvementée pour le dollar. Toutefois, abstraction faite des hausses et baisses passagères de la devise américaine, la tendance structurelle reste plutôt baissière. Comment l’expliquer ? Et quelles opportunités offre-t-elle ? Signifie-t-elle également la fin du statut du refuge du dollar ?

Poussée inflationniste : fausse alerte ?

Les prix aux États-Unis sont en hausse, et pas qu’un peu. L’inflation annuelle pour le mois d'avril a atteint 4,2 %. Les analystes et les investisseurs étaient inquiets, car il ne faisait aucun doute que ce chiffre serait élevé. La question est maintenant de savoir si cette poussée inflationniste est de nature temporaire ou si nous sommes partis pour une inflation durable. Les banques centrales vont-elles réagir avec autant de sang-froid qu'elles nous le font croire ? L’investisseur peut-il apprendre à vivre avec l'inflation ?