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Marchés Financiers

Les forces économiques et politiques à l’origine de la volatilité des taux d’intérêt : ce que les investisseurs doivent savoir

Les taux d’intérêt à long terme en Europe ont (légèrement) augmenté au cours du dernier trimestre, malgré la baisse des taux de la BCE, en raison des préoccupations persistantes concernant l’inflation et de la vigueur de l’économie américaine.
Les élections en Europe et dans les pays émergents ont eu une influence sur les marchés financiers, avec des tensions et des résultats inattendus qui ont entraîné des fluctuations des rendements des obligations et des actions.

La volatilité du marché est de retour au deuxième trimestre

Alors que le calme était revenu sur les marchés financiers au premier trimestre, le deuxième trimestre a été plus volatile. La reprise « risk-on » des actions, qui avait déjà démarré en novembre de l’année dernière, s’est poursuivie aux États-Unis (USA), mais a perdu de la vitesse ailleurs. Les marchés obligataires ont fluctué entre gains et pertes et les matière premières, y compris l’or, ont également été volatiles et n’ont guère contribué aux rendements.

La bourse belge : entre les briques et les actions

Le marché boursier belge est presque complètement déconnecté du consommateur belge moyen et les cours des actions souvent durement touchés freinent l’enthousiasme pour le moment.
Le marché immobilier reste l’investissement le plus important pour la plupart des Belges, tandis que les actions immobilières sont en difficulté en raison de la crise des taux d’intérêt.
Le pouvoir d’achat du Belge moyen demeure largement intact grâce à l’indexation automatique des salaires, les prix au supermarché se stabilisent et l’économie devrait enregistrer une croissance à un rythme sain de 1,2 % par an.

L’industrie du voyage et du tourisme : une mine d’or vraiment illimitée ?

Il y a environ 1900 ans, le poète romain Juvénal affirmait déjà qu’outre le pain, les jeux (divertissements) sont importants pour gagner la faveur du peuple.
Aujourd’hui, cela se traduit par une demande quasiment insatiable d’expériences de voyage. Cela offre des opportunités aux investisseurs, mais tout ce qui brille n’est pas or dans ce secteur.

Aperçu du marché Q1 2024

Après les turbulences de 2023, le calme est revenu sur les marchés financiers au premier trimestre 2024. La reprise « risk-on » des actions qui avait déjà démarré en novembre de l’année dernière s’est maintenue tranquillement et les obligations ont été quelque peu stimulées. La volatilité est restée limité.

Opportunités dans le paysage obligataire mondial

Après de solides performances à la fin de l’année 2023, les obligations d’État ont été confrontées à des défis au premier trimestre 2024, tandis que les obligations d’entreprise ont pu enregistrer des rendements positifs.

Démarrage enforce pour les obligations des marchés émergents, en particulier en Amérique latine. La roupie indienne conserve son attrait en raison de la stabilité politique et de son inclusion dans les principaux indices obligataires.

Maintenant que la banque centrale japonaise a commencé à relever ses taux d’intérêt, et cela en combinaison avec l’évaluation (au comptant) avantageuse de la devise japonaise, le yen pourrait bien créer la surprise en 2024.

Divergence économique : croissance saine aux États-Unis, stagnation dans la zone euro

Les contrastes de la croissance économique: En 2023, les États-Uni sont enregistré une croissance saine de 2,4%, alors que la croissance dans la zone euro est restée limitée à seulement 0,6%.

Au cours du troisième trimestre, la croissance aux États-Unis a atteint +5,2%, tandis que la zone euro a enregistré une contraction de 0,4%.

Bouleversement sur le marché du logement : forte baisse des prix réels des logements après une décennie de hausse des prix.

Aperçu du marché Q4-2023

Le quatrième trimestre a encore été comme une série de montagnes russes. En octobre, la tendance négative instaurée en août s’est maintenue. Tant les marchés des obligations que ceux des actions, ainsi que les matières premières ont fait l’objet de fortes corrections et le sentiment des investisseurs s’est effondré. En novembre, les investisseurs ont retrouvé leur appétit pour le risque. Les marchés mondiaux des actions et des obligations ont connu le mois le plus performant depuis trois ans. Cette tendance s’est poursuivie en décembre, faisant du quatrième trimestre l’un des meilleurs de ces dernières années.

Le quatrième trimestre a été déterminant pour faire de 2023 l’année des obligations

Les obligations ont connu une forte impulsion finale en 2023, grâce à la baisse des taux d’intérêt du marché et à une inflation de base favorable.
Les obligations immobilières et les obligations des pays émergents, en particulier d’Amérique latine et d’Europe de l’Est, ont excellé en 2023.

Aperçu du marché Q3-2023

Le troisième trimestre de 2023 a connu trois phases différentes. Le mois de juillet a démarré sur les excellentes performances des actifs à risque, en particulier les actions. Toutefois, alors que les investisseurs s’étaient accommodés du risque, une correction s’est produite en août. Le trimestre s’est clôturé sur des résultats défavorables et seules quelques actions sont parvenues à résister.